
La mort rode à Kaboul, que ce soit dans la prison dont Atiq est le geôlier que dans sa maison, ou encore dans le foyer de Mohsen et de Zunaira, ancienne avocate contrainte à la nuit de son tchadri.
J'étais restée quelque peu sur ma faim lors de ma première rencontre avec Yasmina Khadra. Mais comme j'avais envie de lui laisser une seconde chance, j'ai retenté le coup avec Les hirondelles de Kaboul. Cette fois encore, je reste un peu sur ma faim, mais plutôt à cause de la brièveté du roman et de l'antipathie que j'ai très vite...
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